Responsable : Michèle 03 84 76 41 58

Les visites ont débuté par le musée du cristal de Bayel , crée en 1994, qui  a permis de découvrir l'histoire du verre et du cristal de l' Antiquité à nos jours ,les outils et les techniques, un film illustrant toutes les étapes de la fabrication de la pâte de cristal: soufflage à la bouche, taille à la main, gravure et polissage.
Après le repas direction Clairvaux pour visiter l'abbaye cistercienne créée  par Saint Bernard  en 1115. Elle fût prospère au XVIII°  et compta jusqu' à 900 moines.
En 1789 elle devient bien national puis Napoléon en fît la plus grande prison française du XIX° , dont on visite encore les émouvantes'' cages à poules''.
La restauration de l'abbaye a mis en valeur  le bâtiment des Frères convers avec le dortoir, le réfectoire et le cellier.
Pour terminer cette journée visite d'une cave de champagne à Baronval, et découverte des différentes phases :pressoir, salle de fermentation avec des cuves en inox, cellier de vieillissement, mise en bouteille. Une dégustation a bien entendu clôturé cette journée intense et enrichissante .

La première sortie  de la saison 2017-2018 a fait découvrir le jardin Acorus à Autoreille.

Une cinquantaine de membres du FAL ont découvert l'usine d'embouteillage de Velleminfroy.
L' avenir de la source, découverte par hasard en 1828, est en bouteilles.
Paul Poulaillon n'a de cesse depuis 2004 de concrétiser son rêve en construisant une usine pour mettre son eau en bouteilles : une eau pure, minéralisée, sans nitrates aux multiples vertus ( laxative,purgative et diurétique) une eau qui '' nettoie l'intérieur'' .

Un film sur l'histoire du site et la construction de l'usine a été présenté ,puis la chaîne d'embouteillage, ultramoderne qui traite en un seul passage depuis la fabrication de la bouteille jusqu'à l'emballage.

La journée débute par la visite de la ferme familiale MOINE à RASEY qui cultive la rhubarbe sans engrais ni pesticides. La récolte, qui a lieu en mai, est manuelle. Les bâtons sont coupés, broyés et pressés. Le jus obtenu fermente lentement dans des cuves inox et donne un vin de rhubarbe suivant des méthodes oenologiques modernes. La dégustation a pu étonner par la finesse et l'arôme unique des divers vins qui sont distingués par les plus grands sommeliers et les chefs de la gastronomie mondiale.

Après le repas à la ferme auberge des 7 pêcheurs, le groupe a été accueilli par M.Michel CLAUDEL, membre de la confrérie qui a retracé l'histoire de la chapelle de THIELOUZE, du 14ème siècle, dédiée à la Vierge. Cet édifice religieux renferme de nombreux joyaux tels qu'une sculpture aux 3 oreilles de lapin (symbole de la trinité), différentes statuettes, notamment une madone en pierre du 14ème, classée, un Christ en croix du 18ème tout en bois et un tableau de l'annonciation peint par le spinalien Nicolas BELLOT, en 1633.

Sur le chemin du retour, un bateau attendait les visiteurs pour une croisière sur le canal des Vosges à partir de Fontenoy le Château. Des explications sur la Moselle et la Saône et le fonctionnement d'une écluse ont été appréciées, ainsi que le goûter. 

Cette journée fût riche en découvertes. 

Derrière les grilles de l'hôpital Saint Jacques à Besançon,dans un ancien bloc opératoire, les visiteurs ont découvert le musée de l'anesthésie et des techniques médico-chirurgicales, qui évoque les grandes étapes et les conquêtes de la médecine, en particulier l'anesthésie et la réanimation .

Les pièces de collection,ustensiles et appareils retracent l'évolution de la médecine depuis le XIX° siècle.

Jean Victor Corbet, un franc comtois a amené à Besançon l'anesthésie générale aux vapeurs d' éther sulfurique dès janvier 1847, peu après les États Unis.

Les Professeurs Neidhardt et N' Guyen ont fait partager leur passion avec humour et simplicité aux participants.

Une vingtaine de personnes du F A L ont visité l’ESAT (Établissement et Service d' Aide au Travail)., géré par l' ADAPEI. Cette association de parents d'enfants déficients mentaux hors du système scolaire et social est créée en 1962.

 Les 220 salariés encadrés par des moniteurs travaillent 35 heures par semaine dont 4 heures consacrées au soutien professionnel et extra professionnel.

Nathalie a guidé le groupe à la découverte des différents ateliers.

L'atelier de menuiserie (fabrication de palettes), le conditionnement et l'emballage   d'ailes et pièces de rechange automobile (encollage de carton avec un robot), la  garniture intérieure de véhicules (découpe d'insonos adhésifs), préparation de trousses à outils. Il y a également un atelier entretien espaces verts.

Le service SATP (service d'activité en temps partagé) où les personnes travaillent sur des petits conditionnements et autres.

Les salariés bénéficient d’un suivi psychologique, médical et social.

 Les visiteurs ont découvert que ces personnes étaient des travailleurs comme les autres !

Une trentaine de personne avait  bravé le froid et les mauvaises routes  pour découvrir l’écriture de 3000 ans avant notre ère, à nos jours Ils ont été enchantés par cette soirée  animée par Isabelle ALLOU. 

Formée par les moines cisterciens, enlumineresse, calligraphe et restauratrice de documents anciens, Isabelle a la passion de la transmission. Elle  exerce depuis 29 ans un métier d'art très rare. Elle nous a proposé un voyage dans le temps autour de l'écriture de la tablette d’argile à la tablette numérique au moyen d'un diaporama suivi d'un moment d'échanges. " Isabelle a captivé l’auditoire par ses connaissances, la passion de son métier et par son humour.

Pierre Beneux nous a emmené en Iran, pays de 80 millions d'habitants, et d'une superficie de 3 fois la France.

 Les auditeurs ont eu un aperçu de ce pays  à  travers son histoire, sa culture, son architecture, ses religions . L'Iran a connu très tôt une civilisation urbaine brillante, liée à la mise en place de royaumes puissants et de capitales dont nous avons découvert les riches témoignages Yadz, Ispahan, Shiraz, Persépolis  finissant le voyage à Téhéran.

L' Iran, pays fascinant par son histoire millénaire et son art de vivre !

Courant novembre un groupe de 30 adhérents a visité la BA116 à Luxeuil.

 Ils ont été accueilli et accompagné par un membre de la cellule communication qui  a présenté la base et ses activités et ils ont visité le Groupe de Chasse 1 / 2 <<Cigognes>> en compagnie d'un pilote de Mirage  et ont approché un Mirage-V , sa structure, sa cabine de pilotage.

 Puis l'atelier moteur où le matériel est révisé et entretenu.

Un passage par les simulateurs de vol a permis de se rendre compte  de la technicité et des capacités des '' hommes volants''  et pour terminer visite de l' ESIS et du matériel des ''pompiers de l'air''.

 Nul doute, que désormais, les visiteurs, lorsqu'ils verront un avion Mirage dans le ciel, se remémoreront cette visite et toute la préparation des hommes et du matériel pour ce vol.

Une cinquantaine de personnes se sont retrouvées autour de Morice Benin et Dominique Dumont  pour une soirée de chansons empreinte de poésie et  de textes d'un incorrigible utopiste, comme il se définit.

 '' Nous étions sûrs que nous allions changer le monde …. Aujourd'hui, nous ne sommes sûrs que d'une seule chose : le monde ne nous changera pas !

Nous sommes beaux, Notre peur qui êtes odieuse, Fils de la vie, Souann, N'oubliez pas, Les pays n'existent pas, Je vis, Carrière validée, Une fois, Laisse partir le chanteur, quelques exemples du répertoire des deux complices, appréciés par les spectateurs.

Au cours d'un voyage au cœur du pays horloger, les participants ont visité le musée de la montre à Villers le Lac. Il présente la montre, de ses origines en 1500, jusqu'à nos jours : montres mécaniques à ressort, à pile, électriques et à quartz pour les plus récentes.

Des montres de table, de poche et montres bracelet pouvant comporter plus de 100 pièces sont exposées ainsi que des machines et des outils.

Un atelier d'autrefois reconstitué avec des automates grandeur nature retrace le travail des paysans horlogers. C'étaient des artistes aux 1000 outils.

Après le repas, la visite s’est poursuivie au musée de l'horlogerie à Morteau qui abrite des modèles uniques : horloges avec mécanisme en bois, pendules mystérieuses, horloges de clocher, horloges comtoises et 2 horloges astronomiques.

Le groupe de visiteurs a pu percer le secret de la montre du temps et découvrir l'ingéniosité des ancêtres.

Le voyage s'est achevé à l'église d'Orchamps Vennes qui recèle un chemin de croix créé par Gabriel Saury en 1947. Cet homme, marqué par la maladie et le corps décharné de ses amis revenant des camps de concentration a traduit la souffrance et la dégradation du corps du Christ à travers des statues en terre glaise mêlées à la poudre de faïence. Les personnages dépouillés de la Passion sont criants de réalisme. La guide qui a connu l'artiste a permis au groupe de mieux comprendre cette œuvre unique.

Les vitraux lumineux du chœur de l'église, réalisés par Amélie Jost, sont remarquables.

Une bonne journée riche en découvertes !

Le château, c'est une histoire continue de presque 1000 ans au sein de la même famille.
La dernière héritière la Comtesse Diane de Salverte en a fait don au département de la Haute Saône le 28 mai 2015.

Une promenade autour du château et du remarquable  parc arboré de 12 hectares, avec notamment deux splendides cèdres du Liban,  a permis aux visiteurs de découvrir, à travers les imposantes façades, l'histoire de ce domaine.

Il recèle la plus belle collection familiale de Franche Comté, de la dent de lait de mammouth à de riches portraits, du mobilier, des armes, des trophées de chasse …..
La visite des salons, de la Chapelle, des caves, des communs, des chambres   a été commentée par le guide qui nous a fait partager son enthousiasme pour ce lieu.

Une vingtaine de personnes adhérentes du FAL a visité l'entreprise familiale qui n'a cessé de se développer. A l'origine , elle est spécialisée dans la fabrication de matériel agricole.

Dans les années 70, elle évolue vers la fabrication de stabulations et d'aménagements pour les bâtiments d'élevage et passe ensuite à la construction de bâtiments agricoles en métal et en bois en 1985.

En 1995 l'entreprise s'agrandit et crée le site de Larians réservé essentiellement à la métallurgie.

Une section taillage et traitement du bois est mise en place en 2006, avec de nouvelles réalisations : mobilier et abris de jardin, terrasse, mobilier urbain et constructions standard ou sur mesure.

L'entreprise a su se diversifier et se moderniser( découpe laser, robotisation..), et

son savoir faire est reconnu par le monde agricole dans le Grand Est.

Gérard Prétot, l'un des fondateurs de la SARL a guidé des visiteurs très intéressés tout au long des ateliers.Un après midi enrichissant !

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Cette visite clôture la saison, merci aux organisateurs pour le programme varié proposé, et nul doute que la saison prochaine ( en préparation) sera éclectique.

A l'initiative de la section culturelle, une cinquantaine de personnes sont allées, en car,  au Zénith à Dijon pour le spectacle Holiday On Ice.
Les spectateurs ont été enchantés par la féérie, les décors, les effets spéciaux et les prouesses des patineurs. Un moment de plaisir!

Believe est  un tout nouveau spectacle riche en prouesses techniques, technologiques et artistiques, avec la voix de Nathalie Péchalat, une pole danseuse, des acrobates et des chanteurs Live.
Believe est une histoire d’amour entre deux personnages, Antonio et Clarissa, qui viennent  de deux mondes que tout oppose. Antonio vient du monde d’en bas, univers de machines et de labeur. Clarissa, elle, vit dans le monde d’en haut, un univers riche et prospère. Ils rêvent tous les deux à un futur différent de celui que leur impose leur condition.  Lorsque les deux mondes s’affrontent, l’inévitable se produit. Antonio s’éprend de Clarissa, qui tombe sous son charme. Ils se retrouvent alors confrontés au rejet de leurs semblables. Mais ils continuent à croire en l’impossible et leur amour, plus fort que tout, triomphera des interdits !
C’est une sorte de Roméo et Juliette version rock avec une fin heureuse !

Photos extraites du site officiel Holiyday on Ice

Après le repas,  montée sur les hauteurs de Dommartin les Remiremont, où, installé au cœur d'une vieille ferme, Christophe Toussaint conjugue l'épinette sur tous les tons.
 Il  a plusieurs cordes à son arc. Comme tous les passionnés, il posséde une collection d'épinettes et de cithares, il fabrique cet instrument avec des bois de fruitier, érable, épicéa, il est joueur, compositeur.
 La passion et la délicatesse qu'il met à effleurer son instrument ont subjugué les visiteurs qui ont poussé la chansonnette avec lui .

Un retour à la nature, à la simplicité avec une touche artistique.Que du plaisir !

M.Vermot, responsable du centre régional météorologique de Besançon, a expliqué comment faire des prévisions.

La prévision est un besoin de tout temps. On s'aidait alors d'éléments d'observation comme la lune, l'état du ciel, le vent, le calendrier, l'influence des Saints Patrons (St-Médard, les Saints de Glace), le comportement des animaux et du monde végétal. En 1799, le Dr Marchaux a fait lui aussi des observations sur le beau temps et le mauvais temps. Toutes ces précisions étaient peu scientifiques.

Aujourd'hui, on mesure tous les paramètres qui caractérisent l'atmosphère : la pression, la température de l'air, l'humidité de l'air et le vent (PTUV) au moyen de mesures au sol (stations météo, bouées, bateaux munis de capteurs) et de mesures en l'air (ballons, satellites, radars, avions). Le numérique permet de calculer toutes les données, non seulement en France mais dans le monde et pourtant la prévision est sûre à 2jours à 3heures près.

Météo France est un établissement public qui dépend du ministère des transports. Elle a 2 missions supplémentaires : la prévision des risques (carte de vigilance) et la mémoire du temps. La stratégie de Météo Franche Comté est de fournir la meilleure précision locale possible tout en gardant la meilleure cohérence avec l'échelle nationale.

Un exposé clair, à la portée de tous qui a permis à chacun de se rendre compte de la complexité de cette science.

Les intervenants

SOIRÉE DON D'ORGANES.

La section culturelle a invité l' ADOT, pour une soirée d'information.

Après une vidéo projection présentant les dons d'organes en France et les différents types de dons possibles avec les commentaires éclairés de la Présidente de l'ADOT 70, des greffés nous ont fait partager leurs vécus et ont répondu aux questions de l'assistance.

Les participants attentifs

Christian Mathis a visité le nord de l'Ethiopie en 2008 et le sud du pays en 2014.

Il a ramené  de belles photos qu'il a présenté à un auditoire d'une soixantaine de personnes.

Les spectateurs ont voyagé à la découverte du pays à travers sa géographie, son histoire , ses populations et modes de vie ancestraux.

Mais aussi un pays en pleine évolution où les traditions et coutumes disparaîtront bientôt devant les ''progrès'' du monde moderne.

Une soirée dépaysante où le conférencier a su nous faire partager sa passion.

La corbeille déposée à l'entrée a permis de récolter 203,40 € pour le Téléthon.

La section culturelle du F A L a organisé la visite de l'entreprise GINDRO installée à Montbozon.

La tuyauterie pour la ventilation , le transport des déchets et des poussières représente 85% de la production.

Les visiteurs ont vu les différentes phases de la fabrication : conception ; planification ; atelier débit où les feuilles d'acier, d' inox ou de galva sont découpées au moyen d'une machine laser performante, programmée et autonome ; atelier assemblage avec le roulage et la soudure ; atelier traitement de surface où chaque pièce est dégraissée puis poudrée au pistolet et cuite à 180° pour fixer la peinture ; le montage, l'emballage et l'expédition dans des  délais très courts 

En complément l'entreprise fabrique aussi des boites à lettres haut de gamme en acier et autre domaine de compétence : les portes d'entrée d'immeubles.

L'entreprise familiale a choisi de se diversifier pour assurer sa pérennité.

Les participants ont apprécié l'accueil et la visite intéressante de cette entreprise haut saônoise.

Les adhérents du FAL ont visité le moulin de Courtelevant, près de Delle.

Construit dans les années 1600, il est détruit par un incendie en 1855, et arrête sa production en 1882. En 1988 l'association des ''amis du moulin'' est fondée pour la restauration, l'entretien et l'animation du lieu.

C'est un moulin à eau, alimenté par la Vendeline. L'eau acheminée par un petit canal entraîne une roue à augets de 5 mètres de diamètre.

 Le bâtiment à 4 niveaux : au rez de chaussée la roue et les engrenages, au 1° étage 3 meules pour broyer le grain, la mouture est montée au 4° étage pour être brisée, puis amenée aux bluteries au 2° étage pour être tamisée.

La visite du moulin et la participation aux ateliers pédagogiques liés à la meunerie,animés par des bénévoles motivés et sympathiques ont ravi les participants.

Chacun a pétri, façonné des petits pains , a découvert les différentes céréales, a visionné un diaporama sur l'histoire des moulins et aussi la faune et la flore de la rivière.

Après un repas champêtre sur place, c'est dans le laboratoire de confiserie Western Candy à Héricourt que le groupe a rencontré Michel Willemin. Il crée et confectionne des sucreries avec des chaudrons en cuivre et des machines d'antan qu'il restaure lui même.

Il pétrit  la pâte obtenue à partir de sucre, glucose et colorants naturels, et étire 20 kgs de sucre coulant et brûlant pour obtenir sucettes et bonbons.

Les gourmands ont pu réjouir leurs papilles !

Une journée riche en découvertes.

Une vingtaine d'adhérents du FAL ont découvert le site du tunnel de Saint Albin. 

Afin d'éviter un méandre de la Saône, un canal de dérivation permet de gagner 8 kms. Le canal traverse un tunnel classé aux monuments historiques : long de 681m, haut de 7,50m et large de 6,50m. 

Le percement du tunnel avec des tranchées profondes de 40m et 5 puits d'aération, débute en 1839.

Un pont relie le canal à 1 barrage qui régule le niveau d'eau dans le tunnel. 

La maison du barragiste est construite en 1840.

Des feux régulent la navigation à l'intérieur du tunnel et assurent la sécurité pour les 3500 bâteaux de plaisance et les péniches. 

Cette visite, conduite par Claire Dubois de l'office de tourisme des Combes, a mis en valeur une curiosité faisant partie du patrimoine fluvial. 

Une soixantaine de personnes ont assisté Vendredi soir au concert donné à Echenoz par le  groupe VERTIGO pour qui c'était la première  sortie publique. 

Vertigo c'est la rencontre entre Ju' (Justine 25 ans) et le duo des "Vieilles Barbes" (Christian et Jean-François), duo né il y a 10 ans autour des chansons de Georges Brassens, élargi depuis en restant dans le cadre de la chanson française "à texte". 

Pour ce premier concert Vertigo a emmené le public de "balade en ballades" en passant de Brassens à  Brel, Aznavour, Gainsbourg,  Hubert-Félix Thiéfaine, Lynda Lemay et bien d'autres. 

Un répertoire éclectique où la guitare a souligné les voix, avec quelques touches d'harmonica, de banjo ou de bouzouki. 

Une belle soirée sympathique donnée par un trio de qualité,   largement et longuement applaudi par les  personnes présentes.

A l'initiative de la section culturelle du FAL, une quarantaine de personnes ont découvert un joli coin, riche en patrimoine, de la Côte d'Or.
La journée débute par la visite guidée de l'usine SEB de SELONGEY.
Tout commence  avec des bobines d'acier inoxydable, transformées ensuite en disques. La matière est découpée, emboutie, étirée et polie. D'un côté la cuve, de l'autre le couvercle : ces 2 morceaux empruntent deux chemins de production qui se retrouvent en bout de chaîne au moment de l'emballage.
Le savoir faire, la technologie de pointe de SEB contribuent à sa renommée mondiale.
Après un petit tour au magasin de déstockage, en route pour Bèze afin de se restaurer.
Après le repas, la visite se poursuit, sous la conduite du propriétaire,  par l'abbaye bénédictine St Pierre et St Paul, fondée en 630, l'une des plus anciennes de Bourgogne.
Détruite 7 fois et reconstruite 7 fois entre le VIIème et le Xème siècle, elle renaît avec la congrégation de St Maur au milieu de XVIIème siècle avec une centaine de moines. Le cloître et l'église abbatiale n'existent plus. Il reste des bâtiments :  celui de l’hôtellerie avec des chambres destinées aux  hôtes de marque, le chapier où étaient entreposés dans un meuble à tiroir les habits liturgiques et la bibliothèque, vaste salle au plafond en coque de navire. L'infirmerie, l'orangerie, la boulangerie subsistent également ainsi que 2 tours de l'abbaye fortifiée.
Après la visite du parc aux arbres centenaires ainsi que de la roseraie, l'après midi s'est terminé par la découverte du village de Bèze qui doit son nom à la petite rivière dormante. Les maisons à colombages, les ponts anciens, les lavoirs, le four banal, le grenier à blé, l'église fortifiée St Rémy, l'ancienne huilerie, confèrent à ce petit village médiéval de 450 habitants une sérénité et un brin de romantisme.
Une belle journée riche en découvertes !

Une vingtaine de personnes, dont  6 enfants, se sont rendus à BREUREY LES FAVERNEY visiter l'élevage de bisons.
Créé en 1988 par la famille GUENOT   il compte aujourd'hui 30 femelles allaitantes, 2 mâles pour la reproduction et actuellement 15 petits. Les femelles pèsent environ 600 kg et les mâles aux environs de 1200 kg.
Les bêtes réparties dans 2 enclos de 20 ha se nourrissent en été d'herbe et  de foin en hiver. Les bisons restent dehors tout l'hiver et peuvent maigrir pendant cette période de 60 à 100 kg.
Fin avril, début mai, après une gestation de 9 mois, les petits naissent. Ils pèsent en moyenne 15 kg à la naissance, tètent pendant 6 mois, et sont séparés de leur mère en décembre.
Les mâles sont abattus entre 20 et 24 mois pour la viande, et donnent une viande sans  graisse. Les femelles sont conservées pour la reproduction.
Les bisons sont 5 fois plus puissants qu'un taureau, mais se suivent comme des moutons. Dès qu'un bison s'éloigne du groupe, les autres suivent.
Visite très intéressante au cours de laquelle Monsieur GUENOT a bien volontiers répondu à toutes les interrogations des visiteurs.
La visite s'est terminée par une dégustation de terrines, rillettes et saucisson à base de viande de bison.

La projection du film réalisé par Cécile et Jean-Luc Melot sur Saint-Jacques-de-Compostelle a attiré une centaine de personnes.

En automne 2010, le couple est parti d’Autun (71), en empruntant la voie du Puy puis le Camino Frances soit 2.100 kilomètres en 80 jours. S’engager dans une épreuve, parcourir pas à pas 25 à 36 km par jour, sac au dos, demande des motivations particulières : ce fut un exploit pour Cécile, un défi pour Jean-Luc.

Le film d’une heure et demie, entre paysages splendides, vues sur les villages et les églises, résume parfaitement les conditions de vie des deux pèlerins, loin des contingences matérielles, au plus près de la nature en camping sauvage, puis en gîte.

Sur la route, ils rencontrent d’autres pèlerins venus du monde entier, chacun avec sa propre histoire. Echanges et partages sont au rendez-vous. Des amitiés se créent faisant oublier les petites douleurs.

Leur périple a été ponctué par des moments de bonheur mais aussi de galère (la boue, mal aux pieds, la fatigue, la pluie). Chaque soir, ils avaient la satisfaction d’avoir fini une étape et de pouvoir repartir le lendemain le cœur plein d’énergie. Outre un sentiment de liberté, le couple a également ressenti une immense fierté d’arriver au bout du voyage. Avec, cependant, le regret que tout soit fini.

Grâce à l’initiative du foyer d’animation et de loisirs, Jean-Luc et Cécile ont donné à ceux qui projettent de partir et à ceux qui ont déjà fait le parcours, une part de rêve.

Est républicain

1er avril 2015

Une trentaine de personnes ont assisté jeudi après-midi, à l'espace communal d'Echenoz la Méline, à une animation présentée par M.Guillemain, Directeur de la Prévention Routière, à l'initiative de la section culturelle du FAL.

Plusieurs sujets ont été abordés

• présentation de la prévention routière, son rôle, ses objectifs
• révision des principaux panneaux
• comment bien emprunter un giratoire
• à quel moment est-il raisonnable de cesser de conduire ?
  

    Statistiquement parlant, les seniors ont moins d'accident, sauf au-delà de 80 ans. Avec l'âge on constate une diminution des capacités physiologiques et cognitives : baisse de la vue, perception des dangers plus tardivement, prise de décision plus lente.

Chacun a pu échanger librement et poser toutes les questions qui s'imposaient.

Il s'agit de la 2ème animation concernant la sécurité routière organisée par le FAL. Une petite révision du code de la route et une information sur les risques liés à la conduite n'est jamais inutile. Chacun et chacune des personnes présentes ont pu en prendre conscience.

Une visite des opticiens mutualistes à Vesoul a été organisée par la section culturelle du foyer d’animation et de loisirs. Chacun connaît l’espace de vente des opticiens mutualistes, mais qui connaît la salle de réfraction, la contactologie et le travail de l’atelier ?

Les visiteurs, conduits par la responsable adjointe du magasin, ont découvert la réfraction, salle où sont pratiqués les examens de vue, mesures de l’œil, indications de correction, mesures des rayons cornéens. Des tests qui peuvent à présent être pratiqués par les opticiens.

Les Mélinois se sont ensuite intéressés à l’atelier, en suivant les différents aspects techniques allant de la taille du verre, au meulage en passant par le centrage et le montage.

La salle de contactologie est une salle dédiée à l’adaptation des lentilles de contact, sur prescription médicale. Il existe différentes sortes de lentilles : souples, semi-rigides, rigides, lentilles qui peuvent être journalières, mensuelles et même au-delà pour certaines. Une visite très intéressante où chacun a pu prendre la parole et poser des questions.